Informations pour les usagers
Pourquoi mesurer le PEth
Le dosage du PEth vous dira si votre consommation
(Votre usage de l'alcool) est sans risque ou à risques.
Vous devez démontrer que vous ne consommez pas :
Si c’est la réalité depuis des mois :
Le dosage du PEth sera négatif (indétectable)
Si vous avez arrêté il y a quelques jours :
Un premier dosage dira le niveau de PEth où vos cellules se trouvent,
Les dosages suivants montreront la diminution puis la disparition du PEth,
La valeur du PEth est divisée par deux toutes les 2 semaines.
Si vous maintenez une consommation :
Le dosage des PEth indiquera le niveau de cette consommation,
Voir la page « Consommations à risques ou sans risques » >>>
Vous souhaitez « faire le point » :
Vous avez un doute sur vos consommations
Combien de verres ?
Combien de temps ?
Quels effets ?
Le dosage du PEth vous dira si votre consommation (votre usage de l’alcool) est sans risque ou à risques.
Les phosphatidyléthanols s’accumulent, des semaines sont nécessaires pour l’éliminer. Si vous modifiez vos usages, vous pourrez noter les résultats en dosant le PEth 4 ou 6 semaines plus tard.
Vous avez de grands ou petits problèmes de santé
Prise poids ?
Diabète ?
Hypertension ?
Les grandes études montrent que l’alcool n’est jamais favorable à la santé.
Il s’agit d’études épidémiologiques, sur de grandes populations. Il s’agit de statistiques, de probabilités… une statistique ne s’adresse en aucun cas à un individu ! A votre voisin, peut-être ? Autrement dit, les statistiques ne tiennent pas nécessairement compte de facteurs de protections, ni de facteurs aggravants. Pour la santé, la génétique tient une place importante, la santé et les maladies des parents et des grands-parents sont des indicateurs importants. L’épigénétique est un indicateur encore plus important. L’épigénétique représente les informations qui sont apportées à l’organisme. Par exemple, si vos parents sont hypertendus ou diabétique-2, si vous faites attention dans votre vie à ne pas être en excès de poids, à pratiquer une activité physique régulière (et modérée), la probabilité que vous présentiez ces pathologies devient faible.
Toutefois, l’alcool amène beaucoup de calories, des sucres ou l’équivalent de sucres qui bousculent les métabolismes. Ces apports en calories augmentent le poids, potentiellement.
Toutefois, les calories apportées par l’alcool sont ‘’creuses’’, c’est-à-dire qu’elles ne contiennent pas ou très peu de nutriments, vitamines et oligoéléments indispensables. Ici se trouve le « French paradoxe », certains scientifiques (Professeur Serge Renaud) ont pensé que les polyphénols apportés par certains vins (pas tous, pas la bière) avaient des propriétés protectrices vasculaires et sur les cancers (diminuer l’agrégation des plaquettes). Ces études ont été soutenues par les marchands d’alcool. Malheureusement les études plus précises ont contredit ces données. L’alcool, sous toutes ses formes, n’a pas d’effet favorable sur la santé. L’excès est évidemment délétère.
Toutefois, l’alcool provoque la formation de substances anormales dans les cellules, les phosphatidyléthanols s’accumulent. Toutes les cellules sont concernées. Le PEth prend la place de molécules d’énergies et de communication entre les cellules. Les vaisseaux sanguins, en particulier les artères, sont fait de muscles qui accompagnent le flux circulatoire. Le pouls que vous percevez, n’est pas celui du cœur, mais celui de l’artère qui accompagne la pulsation du cœur. Les artères sont aussi actives pour orienter les flux, vers le ventre pour digérer, vers les muscles pour bouger, vers le visage pour exprimer une émotion… En fonction de la température extérieure, les flux sont orientés vers la périphérie pour éliminer des calories quand il fait chaud et l’inverse quand il fait froid.
Vous traversez une passe difficile
Au travail ?
A la maison ?
De couple ?