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Les sciences et les technologies font des bonds, il s’agit de saisir les meilleures pour la santé : utiles, prometteuses et durables. La santé doit se trouver au centre des sciences humaines.

La Santé

Les mesures de la santé

Le poids, la taille, la santé se mesure en grammes et en centimètres, avec une bascule et une toise. L’activité des cellules se mesure par la biochimie ou en identifiant des molécules et des atomes, avec des appareils chaque jour plus précis. La génomique, la capacité à détecter et reconnaitre les gènes est à ses débuts. C’est la PCR (Polymerase Chain Reaction) pour reconnaitre les virus ou les bactéries et bientôt les dysfonctions cellulaires (facteurs de vieillissement).

Les champs de mesure de la santé sont vastes, mesure des fonctions et des équilibres internes, mesure relations avec l’extérieur. Le corps fait partie d’un écosystème. L’écosystème est à la fois complémentaire et dangereux. L’humanité mesure ces équilibres depuis ses débuts.

La mesure des équilibres des écosystèmes biologiques, des éléments, des quantités, des qualités qui font la maladie et la santé doit se trouver au centre. Au centre de ceux qui soignent, de ceux qui produisent, de ceux qui encadrent et conseillent.

Avicenne en l’an 1000 a écrit dans son Canon de la médecine (loi de la médecine) : « Nous devons connaître les causes de la santé et de la maladie si nous voulons faire de la médecine une science. »

La santé au-delà des mesures !

La santé, comme le bonheur et la liberté, sont trop vastes pour être mesurés. Nous mesurons des éléments de la santé. Ces mesures permettent de comprendre les mécanismes de la vie.

La santé et la liberté

Nous mettons la santé et la liberté au même rang de concepts indéfinissables. Indéfinissable revient à dire que la santé, comme la liberté, sont des concepts vastes, dépendants d’un très grand nombre de paramètres.
La vitesse est un paramètre important, vitesses des mouvements de la planète, vitesses biologiques. La quantité de cellules et d’écosystèmes est un autre paramètre majeur.
La somme des paramètres aboutit à une forme de lenteur et d’inertie, les choix sont limités et essentiels.

Comprendre !

Chaque jour, les technologies et les sciences bougent.

Ce que nous comprenions hier peut être faux aujourd’hui et inversement. Ce que nous sommes aujourd’hui est le résultat de ce que nos ancêtres ont compris et choisi, de ce que nous avons nous-même choisi et compris. Ce que nous serons demain dépend de ce que nous comprenons et des choix que nous ferons. « Nous » s’entend par individu autant que par groupe social, envisager la parfaite mesure, l’équilibre entre « moi », « je », « les autres », « la société » et la planète (la nature).

Une comparaison symbolique : chaque vague fait bouger le sable ou les galets de la plage. Les sciences ‘’bougent’’ de la même façon. Le regard, les oreilles, le nez, les doigts du scientifique ou de l’observateur restent les mêmes. Les outils d’observation, les éclairages font voir différemment l’univers. L’essentiel est dans l’observation. L’essentiel se trouve dans le reflet de la lumière sur un grain de sable, de ce qu’une information différente va modifier dans la relation de la personne avec elle-même, avec l’autre ou ‘’les autres’’.

Apprendre !

Notre planète parcourt des millions de kilomètres autour du soleil et dans le cosmos, tous les jours et autant les nuits. Chaque matin est un événement, notre fenêtre, nos yeux, notre peau, reçoivent la lumière du soleil. La lumière, et de nombreux autres éléments du cosmos, de la terre, de la société, des voisins et de l’espace. Chaque jour est une occasion d’apprendre.

Apprendre, c’est visiter une information, c’est découvrir, c’est assembler, ‘’faire sien’’.
Tomber et se relever c’est apprendre. La maladie c’est apprendre. Se soigner c’est apprendre.
Rencontrer l’autre, c’est apprendre.
Découvrir c’est toujours.

Partager !

Nous partageons le même air, la même terre, la même eau… Nous partageons des langages, des usages et des habitudes… Nous partageons un système de soin. Notre souhait est de partager un système de santé.

La société (en commençant par la famille) est par définition un partage, un équilibre entre confluences et divergences, symbioses et conflits.

Les technologies proposent des moyens qui n’existaient pas il y dix ans. Ces moyens sont disponibles pour partager des connaissances et des informations avec les mêmes confluences, divergences, symbioses et conflits possibles. Rassembler des données pour comprendre et préserver l’intime.

La prévention

La prévention a plusieurs facettes. La vaccination en est une. La recherche des maladies ou donner des médicaments pour les éviter en sont d’autres. Pour nous, prévenir, c’est veiller aux écosystèmes.
Les écosystèmes sont vastes, ils s’étendent du corps à la planète. Les écosystèmes bouillonnent, des virus aux bactéries, aux végétaux, insectes, animaux… ils nourrissent, ils recyclent.
Notre choix est de veiller aux écosystèmes, ceux du corps autant que ceux de la planète.

Les sciences et le temps

Le vingtième siècle a été bouleversant, l’eau courante, le tout-à-l’égout, le chauffage… Autant de sciences et de progrès technologiques qui ont bouleversé le confort et la santé. La pasteurisation, les antibiotiques, les vaccins, ont fait disparaitre de nombreuses maladies.
D’autres maladies sont apparues, le VIH, des hépatites, les avancées technologiques ont pu trouver des remèdes efficaces.
En 2020, la planète doit faire face à un ennemi ancien, un virus de grippe, ou proche, le SARS-CoV-2, virus responsable de la Covid.