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PETH, définition
Le PETH (phosphatidyléthanol) se produit quand les cellules rencontrent de l’alcool à la place de l’eau. Il se forme rapidement, dans toutes les cellules de l’organisme. Il disparaît lentement en 4 à 8 semaines.
Le PETH est le reflet spécifique des consommations d’alcool, il ne se produit en aucune autre circonstance.
Le niveau du PETH est proportionnel aux quantités d’alcool bues dans les semaines qui précèdent le prélèvement.
Le PETH est un composé anormal qui se produit et s’accumule dans les parois des cellules. Il se produit au centre du métabolisme des vitamines et de la communication des cellules. La fatigue du lendemain des consommations est une manifestation du PETH. Il se produit dans toutes les cellules de l’organisme, les muscles, les artères, le cerveau, le foie. Le PETH que nous mesurons se trouve dans les cellules sanguines (globules rouges, globules blancs).
PETH, comment :
Pour mesurer le PETH, nous mettons à votre disposition un dispositif de prélèvement et d’envoie. Obtenir le dispositif
Principes de fonctionnement :Une micro piqure,
Une goutte de sang est prélevée au bout du doigt,
Le dispositif absorbe une goutte de 10 microlitres,
Le prélèvement sec est envoyé au laboratoire,
Les résultats reviennent la semaine suivante.
Quelques informations
Le coronavirus 2019 (SARS-CoV-2) est un virus nouvellement apparu dans la famille des coronavirus (apparaissent comme une couronne en microscopie électronique). Ce virus découvert en 2019 est responsable pour l’espèce humaine d’une maladie équivalent à une grippe, mais fréquemment suivie de complications vitales.
Ce virus d’origine animale a une grande capacité de transmission interhumaine. Dans les infections connues, on sait qu’un nombre élevé (inoculum) de virus (ou de microbes) est nécessaire pour que l’infection se transmette. Le Covid-19 se répand très vite, les virus se multiplient vite, peu de virus sont nécessaire pour transmettre l’infection.
Il y a trois façons d’identifier une infection virale ou bactérienne :
Reconnaitre les signes typiques de l’infection,Manifestations cliniques
Signes d’examens, radiologie, biologie…
Reconnaitre l’agent infectieux :
En le voyant, microscopes, cultures
Par ses données génétiques (amplification génétique PCR)
Reconnaitre le passage du virus par l’immunité spécifique
Détecter la présence des immunoglobulines :
Les anticorps précoces les IgM
Les anticorps durables les IgG
L’immunité (immunocompétence) revient à reconnaitre l’élément infectieux suffisamment tôt pour ne pas le laisser se développer (il n’y a pas d’infection). Les immunoglobulines (Ig) (anticorps) neutralisent les antigènes (bactéries, virus, parasites). Les Ig agissent comme des aimants spécifiques du microorganisme envahisseur.
La biologie est maternelle, notre maman nous a transmis ses compétences, les immunoglobulines passent de la mère au bébé et le protègent quelques années. La vaccination apporte un antigène pour stimuler la réaction immunitaires (cellules et immunoglobulines).
Monde complexe et inouï, l’organisme protège son intégrité. Sauf ! Quand il rencontre un organisme inconnu comme le SARS-CoV-2. Sauf ! Quand l’agent infectieux sait se cacher ou empêcher l’immunité d’agir (le VIH, la tuberculose). Dans ce monde complexe, ne pas oublier que nos cellules vivent grâce à l’écologie. Notre corps partage l’eau, l’air et le pain avec 10 fois plus de bactéries qu’il a cellules à lui.
La détection des immunoglobulines est une méthode indirecte qui permet d’identifier une infection en cours, ou passée. Cette méthode est comparable au pisteur qui reconnait la trace d’un ours ou d’une biche.
Le génie génétique a bouleversé ces recherches en fabriquant des protéines sur mesure : les antigènes ou les anticorps recombinants. Plus besoin de chevaux ou de lapin pour fabriquer des anticorps en injectant des antigènes. Ni de manipuler des virus désagréables.
Il « suffit » de modifier les gènes d’une bactérie pour produire des anticorps ou des antigènes recombinants précis en grande quantité. Les biologistes s’activent intensément.
Les mêmes technologies servent à produire des vaccins et des tests diagnostiques.
Pour faire un test de recherche d’anticorps contre le Covid-19, les biologistes fabriquent des antigènes qui imitent un fragment du virus SARS-CoV-2 (spikes) les antennes qui l’entourent avec lesquelles il se fixe sur les cellules et la capsule (nucleocapside). Ils fabriquent également des anticorps anti-IgG et anti-IgM humains. Ces protéines sont marquées avec des particules d’or colloïdal.
Ces protéines sont fixées sur un support pour « piéger » les protéines que l’on cherche. Quand on présente le sérum du patient, les antigènes du virus SARS-CoV-2 vont piéger les immunoglobulines spécifiques si elles sont présentes. Les anticorps anti-IgG et anti-IgM humains vont piéger les précédentes Ig. Cette réaction forme un complexe qui se révèle par une ligne rouge (anti-antibody-antibody-antigen-gold particle complex).
On connait depuis longtemps plusieurs familles d’immunoglobulines A, E, D, E, G, M ! Ce sont des protéines, elles circulent dans tous les milieux liquides (aussi la salive et les larmes). Elles sont aussi fixées sur des cellules de protection.
Face à une infection nouvelle, ce sont d’abord les anticorps (immunoglobulines) IgM qui apparaissent (en moyenne après 1 à 2 semaines), elles disparaissent quand l’infection disparait (et peuvent revenir en cas de nouvelle infection). Les IgM indiquent l’immunité précoce, ils s’atténuent ou disparaissent ensuite.
Les anticorps (immunoglobulines) IgG apparaissent (en théorie) plus tard au bout de 4 semaines. Les immunoglobulines IgG représentent l’immunité durable.
Encore une fois, une infection est une affaire entre un agent infectant et un hôte récepteur (et victime). Les réactions immunitaires se situent entre les deux, autant par l’intensité de la réaction que par son déroulement dans le temps. Pour le Covid-19, nous disposons de peu de données, nous n’avons effectivement pas de recul. Nous disposons de quelques données en lien avec l’épidémie de 2003. Les variations rapportées sont importantes.
Nous avons éminemment besoin d’avancer dans ces connaissances !
Donc faire des tests !
Les coronavirus
Les coronavirus sont des virus à ARN, ils mesurent 60 à 40 nanomètres de diamètre. Quatre coronavirus circulent chez les humains pour donner des maladies respiratoires modérées. Ils se nomment HKU1, NL63, 229E et OC43.
En 2004 :« L'épidémie mondiale du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS en français, SARS en anglais)) en 2003 a été causée par un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV. Les coronavirus sont des virus à ARN. Des ARN extrêmement longs, pour la synthèse de cet ARN, ce virus utilise des mécanismes biologiques, des enzymes uniques, différents de tous les autres virus à ARN. » (Ziebuhr J. Review: Molecular biology of severe acute respiratory syndrome coronavirus Curr. Opini. Microbiol. 2004, 7 (4), 412-9)
Cette citation situe les problématiques, la complexité de ce virus :
1/pour la recherche, l’élaboration d’un traitement et d’un vaccin,
2/pour l’organisme visité par ce virus. Pour l’organisme atteint, les lésions sont secondaires à une très violente activation des défenses immunitaires. Quelques publications parlent de la tempête des cytokines. Il est aussi approprié d’évoquer un incendie.
La maladie peut être bénigne, fièvre, fatigue, toux sèche, douleurs diffuses, courbatures, maux de tête. On estime que dans 90% des cas, la maladie est simple. Aujourd’hui, seules les infections graves sont diagnostiquées. Les tests immunitaires sur un grand nombre de personnes nous permettront de savoir la proportion d’infection légères liées au coronavirus SARS-CoV-2.
Le virus atteint les voies respiratoires et peux créer des lésions profondes dans les poumons. Cette atteinte a d’abord peu de manifestation ou un essoufflement (dyspnée) et peut se transformer en syndrome de détresse respiratoire. Dans les cas graves, la maladie est appelée le SRAS (Severe Acute Respiratory Syndrome), syndrome de détresse respiratoire aiguë. D’autres complications peuvent apparaitre : choc septique, acidose métabolique, anomalies de la coagulation non réversibles, des troubles neurologiques.
Une manifestation fréquente est la disparition (ou des changements) du goût et de l’odorat. Le virus atteint les cellules responsables du goût (et non pas les connexions nerveuses). Le goût et l’odorat reviennent 10 jours plus tard.
Le Covid-19 peut avoir des manifestations digestives, nausées, vomissement, diarrhées.
Deux caractéristiques dominent : la fatigue et la durée.
Une autre donnée est la nécessité de voir large, des manifestations diverses apparaissent : saignement de nez, urticaire, engelure.
Les virus accompagnent l’histoire, notre histoire biologique d’abord. Pour commencer, ce que l’on sait certainement : nos cellules sont composites, elles contiennent des bactéries : les mitochondries.
Les mitochondries ont leur propre matériel génétique. Les mitochondries transforment l’oxygène en énergie. C’est l’association entre une toute petite bactérie (mitochondrie) et une grosse cellule (une amibe par exemple) qui a permis de former des formes vivantes de plusieurs cellules.
Les virus sont d’absolus parasites. Pour se reproduire, le virus insère ses gènes dans l’appareil génétique de la cellule hôte. Ce sont des virus que l’on utilise pour modifier les gènes de cellules et fabriquer des protéines. Le génie génétique recombine les données biologiques. Ces compétences sauvent des vies, par des médicaments et des analyses biologiques. Il faut y voir de progrès et surveiller de très près les dérives commerciales (les OGM).
Nos cellules sont composites ! notre patrimoine biologique est le produit de mutations où les virus sont des moteurs. Nos gènes sont composites, les virus y ont déposé des informations qui ont fait ce que nous sommes.
L’humanité s’est faite sur combien de générations ? Si l’on compte, modestement une génération sur 40 ans, 2000 ans représentent 50 générations. Cro-Magnon, c’est moins de 1000 générations. Qui se souvient de la grippe espagnole de 1918-19, il y a 3 générations ?
Pour écouter l’histoire, la vigilance est nécessaire, vigilance sur l’élasticité du temps et les limites de la mémoire.
Les virus accompagnent l’histoire humaine. L’expérience que nous traversons est majeure. Pour ceux qui sont touchés par la maladie, ceux qui sont touchés par le deuil, ceux qui doivent se protéger pour protéger leurs parents, enfants, voisins…
L’histoire des certitudes et des incertitudes.
En agrandissant le champ de regard sur les virus, le 50 années passées ont été copieuses. Il est nécessaire de remonter à 1975, quand l’OMS a annoncé l’éradication de la variole (poxvirus). Eradication effective en 1980. L’OMS a déclaré à ce moment la puissance illimitée de la médecine, les vaccins, les antibiotiques, l’hygiène… auraient, avant les années 2000, le dessus sur toutes les maladies (j’étais étudiant en médecine à ce moment-là, j’ai décidé de m’occuper des relations entre la tête et le corps, des réalités psychosomatiques).
Entre 1968 et 1970, la grippe de Hong Kong a fait 1 millions de victime sur la planète (40.000 en France). Grippe provoquée par le virus H3N2. Je me souviens très bien de cette impression de manger de la paille, la perte du goût, agueusie. J’étais en vacances, il avait neigé à la Croix Valmer, le soleil brillait intensément sur le bleu, le blanc, le vert. Les vacances ont continué, cette grippe était un non sujet. J’ai peut-être eu de la fièvre 48 heures. Mon père, médecin à Marseille, devait être débordé de patients.
A partir de 1980, une maladie inconnue est apparue, par un virus, le VIH, puis une autre, l’hépatite B (VHB), encore une autre, l’hépatite C (VHC). Les infections virales touchent le corps et affectent les psychés. Le système immunitaire est une interface entre dedans et dehors (à partir de 1985, l’absence de certitude m’a ramené vers la médecine du corps).
Les solutions au VIH ont été trouvées en 1995, en associant 3 médicaments puissants (10 ans). La solution du VHC a attendu 25 ans. Aujourd’hui l’infection est traitée en deux mois.
Dans une vie de médecin, autant de passages de l’incertitude aux certitudes.
L’hépatite B a une solution de prévention par un vaccin et un traitement passable. Le vaccin est certainement indispensable dans les régions où le VHB est très présent, ou pour les personnes à risques.
L’épidémie de 2003 par le coronavirus SARS-CoV a été rapidement contrôlée (8.500 personnes atteintes, 900 décès-11%). Elle est restée localisée en Chine et Hong Kong.
En 2008 : Une grippe aviaire (des oiseaux) susceptible de se transmettre aux humains a fait anticiper une épidémie comparable à la grippe espagnole de 1918. Une grande campagne d’organisation pour prévenir cette pandémie a été organisée. Le virus de la grippe A H5N1 n’a pas été au rendez-vous, heureusement pour la société, malheureusement pour l’organisation de la prévention.
En 2012 : le Middle East Respiratory Syndrome Coronavirus (MERS-CoV), a atteint l’Arabie Saoudite (2.500 personnes atteintes, 850 décès -34%).
2020 : Covid-19, nous participons à l’histoire …
Une infection est une problématique entre un agent infectieux et un hôte. Vaste sujet, il concerne les microbes, les parasites, les virus. Il faut l’étendre à l’écosystème biologique. Les bactéries intestinales dans l’immense majorité des circonstances participent aux défenses de l’organisme. C’est une forme d’infection contrôlée. Rappelons que le ‘’tube digestif’’ commence par la bouche. La peau elle-même abrite un écosystème fait de staphylocoques, streptocoques et de candidas. Peau et tube digestif sont en contact intime avec l’environnement, les barrières y sont essentielles. Ces barrières sont des écosystèmes.
Symbiose ou parasitisme, pathogène ou toléré, les relations entre l’hôte et l’agent infectieux sont modulées par de multiples facteurs.
Les virus de tous les jours, participent à l’entrainement du système immunitaire. L’hôte consacre une grande partie de son énergie à constituer un puissant système immunitaire fait de cellules gardiennes (Natural killer, Polynucléaires…), de cellules agent de reconnaissance (lymphocyte CD4, CD8), de cellules mémoires (lymphocytes B), de cellules sécrétrices d’agents chimiques (les immunoglobulines). Les cellules se parlent et se tiennent informées par des messagers, les cytokines (interféron).
Le virus a besoin de récepteurs pour pénétrer et coloniser les cellules, il s’agit de caractéristiques génétiques. Les humains sont aujourd’hui le terrain favori de ce virus, d’autres virus préfèrent les canards (grippe aviaire). On comprendra probablement un jour quels gènes favorisent l’infection, quelle personne est plus fragile qu’une autre et comment la protéger.
La réaction immunitaire est un bruit de fond permanent. Quand la fièvre monte c’est un incendie qui est déclaré. La fièvre est autant une alerte que l’activation des systèmes de défenses.
Les stratégies pour éteindre cet incendie font débat. Les médicaments ‘’anti-inflammatoires’’ (bien nommés) aggravent la situation. La cortisone est un puissant extincteur, la cortisone inhibe l’inflammation et les réactions immunitaires. La cortisone déplace le centre d’équilibre des défenses, libère une énergie qui fait apparaitre une amélioration. Subjectivité partagée par le soigné et le soignant, entretenu par le marketing.
Oui ! la cortisone doit être proscrite ou utilisée avec la plus grande attention dans toutes le infections.
L’Hydroxychloroquine aurait ici un effet régulateur. Les antibiotiques aident pour des infections bactériennes ajoutées. Les antiviraux arriveront certainement un jour.
L’incendie biologique s’appelle gestion de l’oxygène, des radicaux libres (l’eau oxygénée est un ingrédient sécrété par les peroxydases des leucocytes pour lutter contre les infections). Pour contrôler ces incendies, il est souhaitable d’entretenir le terrain. A court, moyen ou long terme, c’est toute l’importance d’une nourriture qui apporte vitamines, acides gras, éléments essentiels sous des formes assimilables. La feuille de salade, la carotte ou la noix (par exemple) ont parfaitement géré l’oxygène et les radicaux libres pour arriver dans notre assiette.
Il n’est pas concevable d’indiquer des recettes qui protègeraient de tel virus ou de telles bactéries. Il est par contre raisonnable d’entretenir ledit « hôte » à se porter au mieux.
La période d'incubation est le temps nécessaire entre le contact avec le virus et l’apparition de symptômes. Pour le SARS-CoV-2, l’incubation la plus courte est de 1 jour, la plus longue est de 14 jours.
Les personnes en période d'incubation (sans manifestation ou présentant des manifestations banales) sont contagieuses. La personne malade produit de nombreux virus, (contagieuse). La contagion existe pendant tout le cours de la maladie, en moyenne de 22 jours (_à 37 jours).
La guérison, c’est aussi l’immunisation, les personnes immunisées ne sont plus porteuses des virus et ne le transmettent donc pas (5 semaines seraient nécessaires).
Les virus et l’immunité
L’objectif du vaccin est d’informer le corps de l’existence d’antigènes dangereux. Le vaccin apporte un antigène, les défenses l’étudient, le mémorisent. Le système immunitaire fabrique des immunoglobulines dirigées contre le virus ou les germes à qui appartiennent ce ou ces antigènes. Les vaccins modernes sont recombinants, fabriqués par des bactéries « éduquées » dans ce sens. Il est nécessaire de sélectionner un antigène, un ou des fragments du virus, qui apporteront les informations efficaces. Le vaccin contre le Covid-19 pourrait exister sous forme de spray nasal. Les études sont en cours… depuis 2003 (date du premier coronavirus donnant des SARS).
L’actuelle infection par le coronavirus SARS-CoV-2 suscite d’intenses recherches.
La diversité se trouve aussi entre l’agent infectieux et l’hôte. Les mêmes infections ne font pas les mêmes réactions. Dans le cas de Covid-19, la quantité de virus rencontrées peut faire une différence, les capacités de défenses font certainement une grande différence. Le SARS-CoV-2 n’est pas un virus comme les autres, il se répand très vite, il a probablement une grande capacité à se multiplier, et surtout, il a capacité à perturber le système immunitaire.
L’arrivée de tests d’évaluation de l’immunité nous permettra d’en savoir davantage :
Sur la valeur protectrice de l’immunité contre SARS-CoV-2.Connaitre la réalité des contaminations (formes légères)
Connaitre la diversité des formes de cette infection
Les tests sérologiques sont fondés des jeux d’anticorps, d’antigènes et de révélateurs.
Un antigène est fixé sur le support, l’anticorps (immunoglobuline spécifique) (si présent) s’y attache : un immun-complexe. Un anticorps anti-Ig humain fixé à de l’or colloïdal sert de révélateur détecte cet immun-complexe et forme un deuxième immun-complexe et le révèle. Des cristaux rouges apparaissent.
Les tests disponibles comportent deux lignes de révélation, une sert de contrôle, l’autre pour révéler la présence, ou l’absence des anticorps recherchés.
Les anticorps (les immunoglobulines) se diffusent partout dans le corps, dans le sang, dans la salive, la peau, les tissus et aussi dans les urines. Les technologies sont extrêmement performantes. Il est possible de détecter la présence d’anticorps autant que dans la nature les anticorps détectent la présence d’antigènes.
Il est trop tôt pour préciser les modes d’emplois.
Ces tests sont dans les phases d’études de fiabilité.
L’emploi de ces tests devront être à la portée de chacun.
Les résultats attendus de ces tests seront :
Aider à confirmer le diagnosticDire qui sera immunisé
Dire si l’immunité protège
PETH, définition
Le PETH (phosphatidyléthanol) se produit quand les cellules rencontrent de l’alcool à la place de l’eau. Il se forme rapidement, dans toutes les cellules de l’organisme. Il disparaît lentement en 4 à 8 semaines.
Le PETH est le reflet spécifique des consommations d’alcool, il ne se produit en aucune autre circonstance.
Le niveau du PETH est proportionnel aux quantités d’alcool bues dans les semaines qui précèdent le prélèvement.
Le PETH est un composé anormal qui se produit et s’accumule dans les parois des cellules. Il se produit au centre du métabolisme des vitamines et de la communication des cellules. La fatigue du lendemain des consommations est une manifestation du PETH. Il se produit dans toutes les cellules de l’organisme, les muscles, les artères, le cerveau, le foie. Le PETH que nous mesurons se trouve dans les cellules sanguines (globules rouges, globules blancs).