Nous attendons de ces tests d’être précis, fiables, simples et rapides.
Notre objectif sera de mettre à votre disposition ces tests dès que possible.
Les tests sérologiques permettent de connaitre la présence ou l’absence d’immunité contre le coronavirus SARS-CoV-2.
Ces tests disent si la personne a rencontré le virus du Covid-19 ou pas.
Ils aident à préciser les multiples formes que peut prendre cette affection.
Ces tests ne reconnaissent pas directement la présence ou l’absence du virus.
Ils disent la trace que les virus ont laissée dans le système immunitaire par la présence d’immunoglobuline spécifique.
Ils devront nous dire si l’immunité est efficace, c’est-à-dire protectrice, ou pas.
Le coronavirus 2019
La maladie peut être bénigne, fièvre, fatigue, toux sèche, douleurs diffuses. La dyspnée (essoufflement) peut se transformer en syndrome de détresse respiratoire. Dans les cas graves, la maladie est appelée le SRAS (Severe Acute Respiratory Syndrome), syndrome de détresse respiratoire aiguë. D’autres complications peuvent apparaitre : choc septique, acidose métabolique, anomalies de la coagulation non réversibles, des troubles neurologiques.
Ce virus d’origine animale a une grande capacité de transmission interhumaine. Dans les infections connues, on sait qu’un nombre élevé (inoculum) de virus est nécessaire pour que l’infection se transmette. Le Covid-19 se répand très vite, les virus se multiplient vite, peu de virus sont nécessaire pour transmettre l’infection.
L’incendie biologique s’appelle gestion de l’oxygène, des radicaux libres (l’eau oxygénée est un ingrédient sécrété par les peroxydases des leucocytes pour lutter contre les infections). Pour contrôler ces incendies, il est souhaitable d’entretenir le terrain. A court, moyen ou long terme, c’est toute l’importance d’une nourriture qui apporte vitamines, acides gras, éléments essentiels sous des formes assimilables. La feuille de salade, la carotte ou la noix (par exemple) ont parfaitement géré l’oxygène et les radicaux libres pour arriver dans notre assiette.
Il n’est pas concevable d’indiquer des recettes qui protègeraient de tel virus ou de telles bactéries. Il est par contre raisonnable d’entretenir ledit « hôte » à se porter au mieux.
Il y a trois façons d’identifier une infection virale ou bactérienne :
Reconnaitre les signes typiques de l’infection,Manifestations cliniques
Signes d’examens, radiologie, biologie…
Reconnaitre l’agent infectieux :
En le voyant, microscopes, cultures
Par ses données génétiques (amplification génétique PCR)
Reconnaitre le passage du virus par l’immunité spécifique
Détecter la présence des immunoglobulines :
Les anticorps précoces les IgM
Les anticorps durables les IgG
Il n’y a pas, à ce jour, de traitement spécifique pour la maladie.
La guérison correspond aux réactions de défenses du système immunitaire, à la production d’anticorps spécifiques. L'anticorps IgM apparaît 1 à 2 semaines après l’infection, l'anticorps IgG apparaît au bout de 4 semaines.
Le virus et l’immunité
Le coronavirus 2019 - Informations essentielles
Historique
Le coronavirus 2019 est une nouvelle souche de virus découverte en 2019
Hôte et agent infectieux
Une infection est une problématique entre un agent infectieux et un hôte
L’incendie biologique s’appelle gestion de l’oxygène, des radicaux libres (l’eau oxygénée est un ingrédient sécrété par les peroxydases des leucocytes pour lutter contre les infections). Pour contrôler ces incendies, il est souhaitable d’entretenir le terrain. A court, moyen ou long terme, c’est toute l’importance d’une nourriture qui apporte vitamines, acides gras, éléments essentiels sous des formes assimilables. La feuille de salade, la carotte ou la noix (par exemple) ont parfaitement géré l’oxygène et les radicaux libres pour arriver dans notre assiette.
Il n’est pas concevable d’indiquer des recettes qui protègeraient de tel virus ou de telles bactéries. Il est par contre raisonnable d’entretenir ledit « hôte » à se porter au mieux.
Identifier une infection
Il y a trois façons d’identifier une infection virale ou bactérienne
Il y a trois façons d’identifier une infection virale ou bactérienne :
Reconnaitre les signes typiques de l’infection,Manifestations cliniques
Signes d’examens, radiologie, biologie…
Reconnaitre l’agent infectieux :
En le voyant, microscopes, cultures
Par ses données génétiques (amplification génétique PCR)
Reconnaitre le passage du virus par l’immunité spécifique
Détecter la présence des immunoglobulines :
Les anticorps précoces les IgM
Les anticorps durables les IgG
Mesures de protections
les masques simples limitent efficacement les transmissions.
Les mesures de protections, les masques simples, limitent efficacement les transmissions. La transmission se fait essentiellement par l’air expiré dans un périmètre de l’ordre de 1 mètre « On prend ses distances ». Les mains sont le deuxième vecteur de transmission, les mains qui se rapprochent de la bouche ou du nez après avoir touché des surfaces contaminées par des gouttelettes expiratoires. C’est la place du gel hydroalcoolique, du lavage des mains et de l’attention à tous les gestes qui vont des mains et au visage.
Incubation
La période d'incubation est le temps nécessaire entre le contact avec le virus et l’apparition de symptômes
La période d'incubation est le temps nécessaire entre le contact avec le virus et l’apparition de symptômes. La plus courte est de 1 jour, la plus longue est de 14 jours. La personne malade produit de nombreux virus, (contagieuse). La contagion existe pendant tout le cours de la maladie. Les personnes en période d'incubation (sans ou présentant des manifestations banales) sont contagieuses. La guérison, c’est aussi l’immunisation, les personnes immunisées ne sont plus porteuses des virus et ne le transmettent donc pas (14 jours en moyenne).
Il n’y a pas, à ce jour, de traitement spécifique pour la maladie.
La guérison correspond aux réactions de défenses du système immunitaire, à la production d’anticorps spécifiques. L'anticorps IgM apparaît 1 à 2 semaines après l’infection, l'anticorps IgG apparaît au bout de 4 semaines.